Aurélien !
Je crois bien que je ne vous ai pas encore présenté mon petit indien. Depuis le temps que je devais le faire...
Cette fontaine proche de l'aire de jeu occupe la bonne place. C'est que courir et jouer ça fatigue énormément. Et ça donne soif !
A mon retour de Pierrelatte, voilà la première petite personne qui m'a ouvert la porte de chez lui.
Il m'a litteralement sauté dessus. Heureusement que j'étais bien campée dans mes basquettes. Sinon j'en perdais mon équilibre.
J'ai du beaucoup manquer à ce petit gars.
Il m'a déchargé de mon sac de voyage, qu'il a emporté dans sa chambre. Il m'a dit que je ne pouvais plus partir.
Ensuite "racontage" de ses aventures. Il a été intarissable. Que de choses en trois semaines. Même les copines de sa mère y sont passées. Il m'a tout répété. Même les "misères" que lui a fait sa maman, comme il me dit.
J'ai rit de toutes ces vagues anecdotiques. Un long week-end à me taire pour écouter cette petite canaille.
Il n'y a que ses bétises qu'il ne m'a pas délivré.
Ensuite enfin, il m'a demandé que je lui raconte mes "nouvelles". Je lui ai montré toutes mes photos. En les commentant. Puis nous sommes passés aux choses sérieuses.
Le dessin, la peinture, les petites histoires, et il m'a même demandé de lui écrire un poéme sur les lions. Pourquoi les lions ? Ca, je ne saurais vous dire...
Il m'a montré la nouvelle "déco" de sa chambre.
Nous nous sommes aussi baladé ensemble. Nous avons fait des courses ensemble. Et joué aussi.
Nous avons fait un samedi et un dimanche à deux.
Puis les questions, très nombreuses sont revenues comme en chutes. J'avais oublié que j'avais des réponses à fournir à mon retour...
Et mardi ce fut la rentrée. Je devais absolument être présente. Il n'a pas cessé de me le répêter.
Une rentrée bien mouvementée pour moi avec ce "petit chose".
La bonne humeur continue...
Les grandes surfaces c'est l'occasion de toucher les peluches... bien que ce soit interdit, selon un mot déposé sur les nappes vertes.
Comme si on pouvait interdire à un enfant ce genre de gymnastique.
Tous les enfants qui entrent par ici, ils caressent. Ils touchent...
Ce qui me fait toujours sourire.