Copier-coller, ou collés-sérrés ?
En me posant il y a une demi-heure devant l'écran de cet ordinateur, je ne pensais pas que j'allais découvrir de nouveaux visiteurs. Je suis toujours en panne de machine, mais pas de textes. Le cyber-centre fera l'affaire durant quelques jours. Encore un peu de patience et je saurais finalement ce qu'a la machine infernale qui m'a si vilainement laché.
Etant donné que je ne m'en sers que lorsque je suis chez ma fille surtout, j'ai décidé en attendant, de venir envahir le cyber dès qu'un peu de temps m'est accordé. C'est toujours mieux que rien, n'est-ce pas ?
Allez, je vais vous inonder de nouveau de ma prose.
C'est sous un clin d'oeil amusant et appuyé de ces deux coquins, que je viens vous remercier, en priorité. Vous avez eu la gentillesse de me lire. Ce fut très sympathique de vous rencontrer le long de quelques pages.
Vos commentaires sérieux, m'ont dit qu'il y a des sujets qui vous ont interpelés.
Et que d'autres sont un sourire que j'ai tout autant aprécié. Mais oui, je ris parfois de vos écrits éparpillés sur mon blog.
Je vais retourner vous visiter dès la semaine prochaine...
Mais là je vais seulement déposer quelques écrits dont mon cahier se trouve bien chargé.
On m'a bien conseillé de faire du copiage internet et envoyer le tout. Mais je demeure ignorante de la chose.
J'en ris toutes les fois, car on ne sait pas toujours que je suis flemmarde dans pas mal de domaines.
Si ma tête s'y refuse, que voulez-vous que je fasse ? Je ne l'oblige pas.
Je suis comme ces "toutous", je consomme le bien-être que m'offre la machine, quand au reste, je laisse bien volontiers la place aux pros. J'ai définitivement renoncé à le devenir.
L'ordinateur est amusant quand on peut en profiter. Beaucoup moins lorsqu'on en devient son esclave.
Je ne parle pas par expérience, je me sers seulement de celle des autres.
Je me colle à la machine si elle est gentille avec moi, sinon, je l'abandonne sans aucun remord.
Et un sourire pour la photo, et les vôtres...